Emmeline Pankhurst was perhaps the most influential woman of the twentieth century. Today her name is synonymous with the 'votes for women' campaign and she is remembered as the most brave and inspirational suffrage leader in history. In this absorbing account of her life both before and after the campaign for women's suffrage, June Purvis documents her early political work, her active role within the suffrage movement and her role as a wife and mother within her family.
Ellen Wilkinson was a key radical figure in the 20th century British socialist and feminist movement, a woman of passionate energy who was involved in most of the major struggles of her time.
Born in October 1891 into a working-class textile family, Wilkinson was involved in women’s suffrage, helped found the British Communist Party, led the Labour Party’s anti-fascist campaign, headed the iconic Jarrow Crusade and was the first female Minister of Education.
This title introduces the key figures involved in the women's suffrage movement and goes on to consider the arguments advanced by those who supported and those who opposed votes for women (in particluar, the response of men to the campaigns). The narrative also highlights the pace and extent of suffragist and suffragette activity, and assesses their
contribution to the First World War and the extent to which women gained the vote as a result of their efforts during the conflict.
Traduit de l’anglo-américain, le concept de genre s’est progressivement imposé en France au cours des quinze dernières années. Il recouvre désormais un corpus incluant d’autres concepts qui l’ont précédé, tels que « rapports sociaux de sexe » ou « domination masculine ». L’objectif de ce manuel est de mieux cerner la polysémie du genre et d’introduire aux recherches prolifiques qui sont rassemblées sous sa bannière.
Le mouvement des femmes a fait voler en éclats toutes les idées traditionnelles sur virilité et féminité. Longtemps la masculinité a paru aller de soi. Chaque homme se devait de ressembler à un idéal bien campé dans la culture. Désormais, au contraire, les hommes sont amenés à s'interroger sur une identité que la formule chromosomique XY ne suffit pas à définir.
Il y a trente ans, Elisabeth Badinter signait son premier livre L'Amour en plus, une histoire de l'amour maternel du XVIIIe siècle aux années 1970. Le livre avait alors causé de l'émoi car l'auteur y défendait la thèse qu'il n'y a pas d'instinct maternel au sens où la femme serait supposée naturellement plus capable que l'homme d'amour envers son enfant. Ce faisant, elle a tracé un chemin de déculpabilisation des mères dont certaines lui sont encore reconnaissantes. Pourquoi reprend-elle la plume aujourd'hui ?
La domination masculine est tellement ancrée dans nos inconscients que nous ne l’apercevons plus, tellement accordée à nos attentes que nous avons du mal à la remettre en question.La description ethnographique de la société kabyle, conservatoire de l’inconscient méditerranéen, fournit un instrument puissant pour dissoudre les évidences et explorer les structures symboliques de cet inconscient androcentrique qui survit chez les hommes et les femmes d’aujourd’hui.Mais la découverte des permanences oblige à renverser la manière habituelle de poser le problème : comment s’opère le travail historiq
La trame conjugale n’était pas mon premier livre, mais ce fut celui qui me fit connaître. Immédiatement, il fit parler, beaucoup. Mon analyse du couple par le linge faisait rire. Plus grave, une fraction minoritaire du mouvement féministe, tenante d’une analyse en termes de guerre des sexes, vit en moi un ennemi de la cause des femmes. D’abord parce que j’étais un homme, tout simplement.
Régimes, crèmes miracle, gant de crin, bistouri, liposuccion, pourquoi tant de haine ? Trop grosses, forcėment trop grosses, jamais les fesses n'avaient ėtė autant torturėes.
Jean-Claude Kaufmann a mené l'enquête. Il nous entraîne dans une surprenante géopolitique du derrière où s'opposent l'hémisphère Nord, martyre d'une irrésistible injonction à la minceur extrême et le Sud, qui ne le conçoit que bien rebondi.
Pendant des siècles, de débats passionnés en illusions déçues, l’amour a rêvé de guider le monde. Chaque tentative fut un échec, parfois terrible. Alors l’amour s’est replié sur la vie privée. Il a laissé l’économie prendre le pouvoir, et s’est contenté de construire un univers de consolation et de caresses face aux duretés du monde. Jean-Claude Kaufmann renouvelle ici l’histoire d’un sentiment pas comme les autres. Il nous entraîne dans l’aventure des grandes utopies et nous révèle la face cachée des épisodes fondateurs de nos vécus amoureux.